Suite
Le rayon vert
Suite
Le rayon vert
Dormir
Luís Lázaro Matos
Cette suite fait partie du Yeti, the Joyful Hoax de Luís Lázaro Matos, une installation fantaisiste qui invite les visiteurs à pénétrer dans le Rayon vert, l’un de ses quatre univers fantastiques. Les murs sont ornés de toiles représentant des officiers militaires britanniques caricaturés des XVIIIe et XIXe siècles, dont les expressions et les détails exagérés mêlent humour et commentaire historique. Cette approche ludique transforme la pièce en un espace narratif surréaliste où l’art sert à la fois de décor et de dialogue, entraînant les spectateurs dans le monde imaginatif de Matos.
La salle de bains poursuit l’histoire avec des contrastes audacieux de brun et d’orange, évoquant l’impression d’une grotte cachée gardant des trésors invisibles. Comme dans l’ensemble de l’installation, cette suite invite à la découverte et à la curiosité, incitant les visiteurs à dire « abracadabra » au sens figuré et à découvrir ce qui se cache à l’intérieur. Yeti, the Joyful Hoax brouille les frontières entre l’art et l’expérience, offrant un environnement immersif à la fois fantastique, mystérieux et délicieusement inattendu.
Aménagements
Mini bar
TV
iPhone
iPad
Application Conciergerie
Dans la chambre
Œuvres d'art
The Yeti cave 2 (serie)
- Luís Lázaro Matos
- , 2017
The Green Ray (18th and 19th Century British Military Garments)
- Luís Lázaro Matos
- , 2017
Luís Lázaro Matos
Luís Lázaro Matos est né à Évora, au Portugal, en 1987. Il vit et travaille actuellement à Bruxelles. La pratique artistique de Luis Lazaro Matos s’exprime principalement par le dessin, la sculpture, l’animation et l’installation, diluant ainsi les frontières entre des disciplines telles que le design et les beaux-arts. Le travail de Luis se présente souvent sous la forme de contre-propositions architecturales, reflétant son intérêt pour le dessin en tant qu’outil critique et satirique à travers lequel les visions utopiques modernistes et post-modernistes peuvent être analysées et réinterprétées.