Suite
La salle des clubbers
Suite
La salle des clubbers
Dormir
Luís Lázaro Matos
Cette pièce, créée par l’artiste Luís Lázaro Matos, fait partie de l’installation Yeti, the Joyful Hoax, conçue spécifiquement pour les espaces de Magic Megève. Au cœur de cette installation se trouve une fresque murale spécifique qui mêle la fascination de l’artiste pour le non-humain et l’imaginaire à son exploration de la liquidité. La peinture murale dépeint un paysage vibrant d’une chute d’eau, où un poème émerge comme une escalade visuelle, invitant le spectateur à l’escalader pour en découvrir tous les vers. Suspendu au-dessus, le portrait mystérieux d’un homme, accroché par un harnais et une corde, ajoute une couche énigmatique. Agissant comme un rideau théâtral, la peinture murale forme une frontière avec The Clubbers Room, accessible uniquement par des « passages » secrets qui traversent le paysage aquatique peint.
The Clubbers Room reflète la critique acerbe de Matos à l’égard des changements sociétaux contemporains. S’inspirant de la fermeture de nombreuses boîtes de nuit londoniennes, elle reflète ironiquement l’évolution des habitudes de divertissement et l’impact de la flambée des coûts de l’immobilier. Connu pour ses environnements luxuriants et fantastiques, Matos mêle figuration graphique et visuels ludiques, créant un espace à la fois léger et imprégné d’un commentaire mordant sur les récits culturels modernes.
Aménagements
Mini bar
TV
iPhone
iPad
Application Conciergerie
Dans la chambre
Œuvres d'art
The Yeti Cave 1 (serie)
- Luís Lázaro Matos
- , 2017
Clubbers
- Luís Lázaro Matos
- , 2016
Luís Lázaro Matos
Luís Lázaro Matos est né à Évora, au Portugal, en 1987. Il vit et travaille actuellement à Bruxelles. La pratique artistique de Luis Lazaro Matos s’exprime principalement par le dessin, la sculpture, l’animation et l’installation, diluant ainsi les frontières entre des disciplines telles que le design et les beaux-arts. Le travail de Luis se présente souvent sous la forme de contre-propositions architecturales, reflétant son intérêt pour le dessin en tant qu’outil critique et satirique à travers lequel les visions utopiques modernistes et post-modernistes peuvent être analysées et réinterprétées.